Confrontée aux conséquences de trois crises – la pandémie de Covid-19, la guerre en Ukraine et le changement climatique – la croissance africaine doit se limiter à 4,1 %, selon la Banque africaine de développement. Mais certains pays font preuve de résistance.
Une reprise très contrariée, c’est ce qui arrive aux économies africaines. Le constat, déjà dressé par le Fonds monétaire international (FMI) le mois dernier lors de la publication de ses perspectives pour l’Afrique subsaharienne, vient d’être confirmé par la Banque africaine de développement (BAD).
Selon ses perspectives, le produit intérieur brut (PIB) du continent, qui avait rebondi l’an passé à 6,9 %, ne progressera que de 4,1% cette année et devrait stagner à ce niveau en 2023, résultat de la combinaison des effets de long terme de la pandémie de Covid-19 et des tensions récentes provoquées par la guerre en Ukraine.
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